Diana, Analyste fonctionnel (ICT)

«Mon travail est exigeant, mais c'est justement ce qui le rend intéressant.»

    Portrait

    En quoi consiste votre travail ? 

    Je suis analyste fonctionnel dans l’équipe de réingénierie du chômage complet. Je dois « traduire » les besoins en analyse fonctionnelle qui, par après, est transformée en code par nos développeurs. Plus concrètement je décris le comportement désiré de nos applications en fonction de la réglementation à appliquer. Je discute par exemple des boutons à utiliser (design et fonctionnalités) pour valider les dossiers des citoyens, les types de reporting que l’application peut offrir aux utilisateurs, les différentes vérifications plus ou moins automatisées, etc.  

    Quel est l’aspect le plus chouette de votre fonction ? 

    La créativité. Dans ma fonction mais aussi au sein de l’ONEM qui laisse une grande place à cela. Ma fonction c’est aussi un défi : arriver à comprendre le point de vue de chaque rôle, comme un grand compromis à trouver malgré différentes contraintes.  

    Pourquoi encourageriez-vous les autres à travailler à l'ONEM ? 

    Fraichement arrivée à l’ONEM, plusieurs aspects m’ont frappé : la modernité du bâtiment, avec beaucoup de chouettes aménagements, des salles de réunions avec écrans digitaux et des petits canapés et espaces de co-working informels. Mais le plus important, ce sont les collègues ! Je ne pense pas avoir rencontré une telle densité de personnes motivées et compétentes dans un autre emploi. Chacun est expert dans sa matière et arrive à résoudre les problèmes. Avec créativité et rapidité. Un autre aspect, c’est l’aisance avec laquelle tout le monde appelle tout le monde, sur Teams par exemple. Même sans se connaitre. Et sur le plan personnel, je trouve beaucoup de bienveillance, la plupart des gens sont à l’écoute, veulent t’aider à surmonter n’importe quel souci ou frustration. Il y a le soutien logistique mais aussi un certain appui émotionnel. Parfois je me demande si ce n’est pas parce que l’ONEM, à la base, intervient dans des cas ou les bénéficiaires sont vulnérables qu’il y a une telle culture de bienveillance, de soutien et de compréhension.  

    J’aime aussi la cantine, avoir de la nourriture chaude, chaque jour un plat différent et à un prix très accessible à Bruxelles, c’est appréciable !   

    Pourquoi avoir choisi d’exercer le job d'analyste fonctionnel ?  

    J’ai eu différentes expériences professionnelles mais c’est en exerçant ma fonction à l’ONEM que j’ai compris que le rôle d’analyste fonctionnel me va comme un gant. J’aime l’efficacité de la fonction, avoir recours au mindmap et au brainstorming, le besoin d’écrire de la documentation et de tester les fonctionnalités développées. C’est très concret.  

    J’aime ma fonction car je me sens comme un pont entre les experts en réglementation et le monde des développeurs. J’aime le fait également que les technologies informatiques changent vite, des nouveaux outils apparaissent souvent. C’est toujours dynamique. 

    Parfois on me demande comment je me sens en tant que femme qui travaille en ICT. A vrai dire je pense très rarement à ça. Je me rappelle par contre avoir eu peur qu’on ne me choisisse pas pour ce poste car j’avais un bébé de 8 mois. Mais cela n’a pas été le cas. La compétence a été la seule chose qui a compté. L’ ONEM nous fait une belle place, en tant que femme et individu.  

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